MACQUE A CHANVRE
1970.96.2.1-2
Description
Bois, percé, taillé, chevillé, assemblage emboité
Fer, forgé
Chanvre, noué
Longueur : 65.9 cm
Longueur : 55.2 cm
Longueur : 38.9 cm
Longueur : 23.7 cm
Longueur : 1.14 m
Longueur : 1.11 m
Longueur : 1.09 m
Longueur : 1.16 m
Poids : 24 kg
Macque à chanvre en bois taillé, assemblé, chevillé et cerclé de fer, qui était montée sur quatre pieds divergents mais qui est aujourd'hui en plusieurs parties désolidarisées ou cassées constituée de deux ensembles : le bâti 1970.96.2.1.1-5 et le levier 1970.96.2.2.1-3 1970.96.2.1.1 : ensemble constitué d'une traverse taillée à quatre encoches et percée de quatre trous. Les extrémités sont arrondies, elle est de forme rectangulaire. Deux lames fixes en bois taillé de forme rectangulaire, le tranchant dirigé vers le haut sont emboîtées dans les deux encoches centrales de la traverse, grâce à un système de tenons et mortaises. 1970.96.2.1.2 et .3 sont deux lames fixes désolidarisées du 1970.96.2.1.1 et se trouvaient emboîtées dans les encoches latérales de la traverse. Elles comportent les tenons aux extrémités qui permettaient leur fixation. 1970.96.2.1.4 : la traverse de l'autre côté permettait de constituer le cadre du bâti et d'emboîter les lames des deux côtés. Elles ne comportent que deux trous pour les pieds, dont un seul est conservé, le 1970.96.2.1.5, sur les quatre qui existaient auparavant. En partie supérieure du bâti, venait se fixer le levier 1970.96.2.2.1-3, pivotant et en trois parties. La partie principale, 1970.96.2.2.1, est sur plan rectangulaire constituée à chaque petit côté, de deux planches demi-circulaires entre lesquelles sont disposées trois lames en bois espacées, le tranchant vers le bas qui venaient s'intercaler entre les lames du 1970.96.2.1. Elles présentent des bagues en fer forgé sur une extrémité. En partie supérieure, une barre cylindrique sert de poignée transversale, également emboîtée dans les planches demi-circulaires, en partie supérieure. Sur les côtés d'une des planches demi-circulaires, des tenons horizontaux qui étaient insérés dans les trous des montants 1970.96.2.2.2 et 1970.96.2.2.3. Ils sont constitués d'une partie rectangulaire avec un côté arrondi et un trou percé au centre, prolongé d'une section cylindrique permettant l'emboîtement. Le 1970.96.2.2.3 est cassé. Ces montants étaient emboîtés dans les trous les plus près des encoches du 1970.96.2.1.1. Ils étaient fixes mais permettaient ainsi grâce au jeu et à l'écart entre les tenons de la planche demi-circulaire et l'espace du trou des montants, de faire pivoter le levier en partie supérieure.
Achat: Albert Unfer